En investissant dans des biens immobiliers, vous allez découvrir que chaque transaction nécessite des tas de documents, des coûts de transaction arbitrairement élevés et des retards inattendus. Face à ces nombreuses contraintes, il est de mise de trouver des solutions qui facilitent la tâche des investisseurs.
La technologie peut aider le secteur à se développer efficacement. L’immobilier est la plus grande classe d’actifs au monde, sa valeur dépasse celle de l’ensemble des actions et des obligations réunies, et pourtant, il est l’un des derniers à adopter la technologie. Cette industrie contribue pour des milliards d’euros au PIB. Les investissements réalisés dans ce secteur sont énormes.
L’immobilier à l’ère de Microsoft
Après l’introduction de l’informatique personnelle, puis de la vulgarisation d’outils tels que Excel et Lotus, les institutions immobilières ont commencé à adopter la technologie pour appliquer des approches plus quantitatives à la gestion des investissements et du portefeuille.
Voici les technologies dans l’immobilier :
Les éditeurs de logiciels ont émergé pour répondre à la demande du secteur pour des meilleurs outils. Contrairement aux solutions logicielles d’entreprise qu’on voit aujourd’hui, les produits introduits au cours de cette période étaient des services fermés qui ne communiquait pas et ne s’intégraient pas entre eux et qui, dans de nombreux cas, nécessitaient une personnalisation coûteuse de la part de l’utilisateur final.
Les agrégateurs en ligne émergent
Après le boom des réseaux Internet, l’ère du Web a marqué le début d’une nouvelle période de confiance des consommateurs dans les transactions en ligne. Il était au début difficile de trouver des informations sur les biens immobiliers en ligne.
Cependant, au fil du temps, l’émergence des grands agrégateurs en ligne dans les médias sociaux a acclimaté les consommateurs aux transactions en ligne de telle sorte que des modèles similaires ont commencé à se dessiner dans l’immobilier. Les portails en ligne ont ciblé l’opportunité de l’immobilier résidentiel, en raison de sa taille relative et de la disponibilité des données.